Circulating serotonin and bone turnover markers are not correlated with a prevalent fragility fracture and menopausal osteopenia at central dual-energy x-ray absorptiometry

La sérotonine circulatoire et les marqueurs de remodelage osseux ne sont pas corrélés à une fracture de fragilité répandue et à l’ostéopénie ménopausique à l’absorptiométrie bi-énergétique par rayonnement X centrale La dépression et les anti-dépresseurs, ainsi que l’obésité peuvent augmenter le risque d’une fracture ostéoporotique en ciblant, entre autres, les voies de la sérotonine en dépit du fait que la densité minérale osseuse à l’absorptiométrie bi-énergétique par rayonnement X (DEXA) est relativement élevée. Nous introduisons un tel cas sur une femme ménopausée.
A l’âge de 57 ans la femme avait subi une thyroïdectomie totale pour goître multi-nodulaire et substitution supplémentaire de la thyroïde lui a été offerte. Elle est entrée à la ménopause à 50 ans, elle a été diagnostiquée et traitée pour une dépression pendant 3 ans depuis l’âge de 53. À 56 ans, elle a subi une fracture du coude gauche compatible avec une fracture ostéoporotique.
DXA centrale a montré l’ostéopénie. Elle a également souffert d’obésité de 2e degré et un niveau relativement faible de la vitamine D. Les marqueurs de remodelage osseux se trouvaient dans les limites normales. Nous avons testé la sérotonine circulante (ou 5-hydroxytriptamine en utilisant un kit ELISA) au niveau de 280 ng mL (normal entre 80 et 450 ng mL). Le risédronate et la vitamine D par voie orale ont été lancés avec une bonne réponse après la première année, avec l’indication de les poursuivre au moins pendant deux ans.
La sérotonine circulante, ainsi que les marqueurs de remodelage osseux, peuvent jouer un rôle sur les fractures ostéoporotiques, mais pas dans tous les cas; de même, une fracture à faible trauma ne se reflète pas parfaitement sur la densité minérale osseuse au niveau de la DXA centrale.